Avec ses équipements généreux, son habitabilité et sa technologie hybride, la Suzuki Baleno a tous les atouts pour faire front à la concurrence. La citadine japonaise a aussi comme atout principal d’afficher des prix doux. Et pour encore mieux satisfaire les besoins des consommateurs, elle peut être financée par le biais d’une LOA ou d’une LLD. Tous les voyants étant au vert, il n’y a plus de raisons de ne pas sauter le cap et acquérir cette citadine sympathique.
Suzuki Baleno : une citadine familiale polyvalente
La grande citadine du constructeur japonais a connu un chemin périlleux avant d’en être là aujourd’hui. Son histoire démarre il y a 25 ans. En 1995, elle sort des usines de Suzuki dans plusieurs corps. Dans d’autres pays, on la connaîtra aussi sous le nom de Suzuki Cultus Crescent, Suzuki Esteem, Chevrolet Cassia ou même Maruti Baleno. Hélas, la berline familiale ne fera pas long feu sur le marché. En 2002, la production s’arrête nette. Il faudra attendre jusqu’en 2016 pour qu’on entende à nouveau parler de la Baleno. Préfiguré par le concept-car iK-2 et dévoilé pour la première fois en 2015 à l’occasion du Salon de Francfort, le véhicule va compléter la gamme des polyvalentes du constructeur japonais composée entre autres de la Swift. Partageant son origine avec le Mitsubishi Space Star et le Nissan Micra, la Baleno ne sera pourtant pas aussi désinvolte que ses pairs. On a droit à un design consensuel et sobre. Bien qu’elle soit loin d’atteindre les finitions et l’ergonomie des ténors du segment tels que le Volkswagen Polo et l’Opel Corsa, la Japonaise s’en sort plutôt bien avec son ensemble soigné.
L’hybridation à l’honneur sur la Suzuki Baleno
S’il y a un point sur lequel la Baleno devance ses concurrents, c’est au niveau de la motorisation. La citadine est montée d’un bloc 4 cylindres Dualjet 1.2 et un turbomoteur 3 cylindres BOOSTERJET 1.0. Le premier délivre une puissance de 90 ch et 120 Nm de couple et atteint le 0 à 100 km/h en 12,3 secondes. Le second moteur développe 111 ch et 170 Nm de couple et franchit le 0 à 100 km/h en 11,4 secondes. Le véhicule étrenne le système hybride SHVS de Suzuki qui procure une conduite plus douce et fluide tout en réduisant considérablement la consommation de carburant. Aucun branchement n’est nécessaire puisque le moteur électrique s’alimente seul.
La LOA ou la LLD pour financer la Suzuki Baleno ?
La Suzuki Baleno tire aussi son épingle du jeu par ses tarifs alléchants. La version 1.2 Dualjet Privilège se négocie à un prix de 9790 euros TTC. Autre atout non négligeable : le véhicule peut être financé par le biais d’une Location avec Option d’Achat ou d’une Location Longue Durée. Quelle est la différence entre ces formules et laquelle choisir ?
Sur le fond, les deux concepts sont similaires. Que ce soit en LOA ou en LLD, l’utilisateur va louer le véhicule sur une certaine période en payant en contrepartie des loyers mensuels. L’intérêt est d’éviter de passer par l’achat au comptant et de subir les inconvénients d’être propriétaire. Le système plait surtout aux entreprises qui ne sont pas victimes des contraintes de la revente ni de la gestion de l’automobile puisqu’un leasing inclut généralement l’entretien, l’assistance et l’assurance.
Sur la forme, la différence entre la LOA et la LLD va se jouer à la fin du contrat. La LOA permet au conducteur d’acheter le véhicule au terme de la location tandis que la LLD exige une restitution de celui-ci. Au niveau de la règlementation, on notera également quelques disparités, car si la LOA est un crédit à la consommation, la LLD est une location mobilière pure et dure.